
6.4.1922-11.7.2014
Aînée de quatre filles, ouverte aux arts, aux sciences humaines et spirituelles, Lydie oriente très tôt sa vie vers Dieu et vers les autres : étudiante à l’Ecole Normale, institutrice dans le Bas-Valais, postulante à Sainte-Ursule en automne 1943.
Sous le nom de Sœur Marie-Fernand, son engagement dans l’œuvre éducative se poursuit : étudiante à l’Université de Fribourg, professeure à l’Ecole Normale des Filles, supérieure locale de la communauté de Notre-Dame du Silence, secrétaire à la paroisse de la cathédrale.
Partout elle remplit sa mission de façon créative, avec une force empreinte de finesse et de douceur. De santé fragile, elle sait conjuguer amour et douleur, douleur et amour, jusque dans les cinq dernières années de sa vie passées à l’infirmerie du couvent. A l’appel de l’ange, elle renouvelle son « oui » à Dieu qui l’introduit pleinement dans la Vie du Verbe fait chair.
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