
(17.7.1936-10.11.2025) Aînée d’une famille de huit enfants, Anne-Marie naît dans le parfum du bon pain, préparé par son papa, boulanger, secondé par sa femme. Les enfants collaborent au travail par la vente au magasin et la livraison à domicile.
A la fin de l’Ecole ménagère, Anne-Marie vient comme volontaire à Sainte-Ursule pour apprendre le français. Ce stage renforce un désir d’enfance: devenir religieuse. Elle travaille un an chez un médecin sédunois, puis entre à Sainte-Ursule, où elle fait les premiers vœux en 1959 et prend le nom de Sœur Théodora.
Après l’Ecole de nurses, elle assume pendant quinze ans la Crèche de l’Orphelinat, qui accueille surtout des enfants d’immigrés. Suit un bref passage auprès des mamans à Bon Accueil et, enfin, une réponse à sa demande d’être missionnaire en Afrique, où elle travaille pendant vingt et un ans, surtout auprès des femmes: enseignement de la couture, de l’alimentation, de l’anatomie, etc. L’Afrique reste chère à son cœur et elle continue d’y partager les dons des bienfaiteurs.
Sa santé étant altérée, Sr Théodora revient en Suisse, où elle se soigne, puis est envoyée à Hérémence. Elle visite des malades, des personnes âgées et organise des après-midis «goûter, tricot, crochet» en faveur d’œuvres caritatives, choisies par le groupe.
Quand sa santé décline, elle quitte cette paroisse et rejoint l’infirmerie de Sainte-Ursule. Atteinte de multiples pathologies, elle cultive l’espérance et nous impressionne par sa sérénité. Nous la recommandons à votre prière.) Aînée d’une famille de huit enfants, Anne-Marie naît dans le parfum du bon pain, préparé par son papa, boulanger, secondé par sa femme. Les enfants collaborent au travail par la vente au magasin et la livraison à domicile.
A la fin de l’Ecole ménagère, Anne-Marie vient comme volontaire à Sainte-Ursule pour apprendre le français. Ce stage renforce un désir d’enfance: devenir religieuse. Elle travaille un an chez un médecin sédunois, puis entre à Sainte-Ursule, où elle fait les premiers vœux en 1959 et prend le nom de Sœur Théodora.
Après l’Ecole de nurses, elle assume pendant quinze ans la Crèche de l’Orphelinat, qui accueille surtout des enfants d’immigrés. Suit un bref passage auprès des mamans à Bon Accueil et, enfin, une réponse à sa demande d’être missionnaire en Afrique, où elle travaille pendant vingt et un ans, surtout auprès des femmes: enseignement de la couture, de l’alimentation, de l’anatomie, etc. L’Afrique reste chère à son cœur et elle continue d’y partager les dons des bienfaiteurs.
Sa santé étant altérée, Sr Théodora revient en Suisse, où elle se soigne, puis est envoyée à Hérémence. Elle visite des malades, des personnes âgées et organise des après-midis «goûter, tricot, crochet» en faveur d’œuvres caritatives, choisies par le groupe.
Quand sa santé décline, elle quitte cette paroisse et rejoint l’infirmerie de Sainte-Ursule. Atteinte de multiples pathologies, elle cultive l’espérance et nous impressionne par sa sérénité.
